Susie, la souris qui lit! (Susie Morgenstern)

 Editions Gründ

24 pages

14.95 euros

Sortie le 27 avril 2023

4ème de couverture

Susie est une petite souris qui vit dans le sous-sol d'une famille qui adore les livres. Susie aussi!

Souvent solitaire, elle lit, rêve, rit aux éclats, frissonne, apprend...

Bientôt, grâce à sa passion pour les livres, elle fera une autre précieuse découverte...

Mon avis

À travers cet album, l'auteure nous plonge dans la vie de Susie, une petite souris. Elle nous amène dans son trou et nous fait découvrir sa maison. Susie est une petite souris très ordonnée et méticuleuse, mais totalement solitaire. Cela pèse de plus en plus sur son moral. Elle entend la vie agitée de la famille qui vit à côté, mais elle aimerait tellement vivre la même chose. Alors, quand la famille sort, elle en profite pour visiter la maison et grappiller quelques livres...

Cet album me fait tellement penser à la dernière chanson de Patrick Bruel "L'instit". Dans cette dernière, il nous raconte la vie de sa mère, institutrice, et ce qu'elle essayait de transmettre à ses élèves à travers les livres.

"Elle leur apprenait, voyez-vous

Qu'un livre peut changer une vie

Elle leur apprenait, voyez-vous

Qu'un livre peut être un ami

 Elle avait le rêve un peu fou 

Qu'un livre peut changer une vie

Et qu'il n'y a de voyous 

Que des gens qui n'ont rien appris"

L'auteure, à travers l'histoire de Susie, rend hommage au monde de la littérature, un peu comme dans cette chanson. Elle met en avant l'importance et la richesse de la lecture. Un livre peut devenir un ami, il peut changer une vie comme celle de Susie. Il peut permettre de voyager, de découvrir de nouveaux mondes, d'apprendre ou encore de se faire des amis.

De plus, les illustrations sont splendides et collent parfaitement au style de cet album. Colorées, pleines de détails, modernes, recherchées... Elles ne peuvent que vous convaincre.

Cet album a été un coup de cœur chez nous. Cet hymne à la lecture nous a touchés et inspirés. Je ne peux maintenant que vous conseiller de le mettre entre les mains de vos petites têtes blondes très rapidement. 

 

Ma note

La chambre d'Hannah (Stéphane Bellat)

 Editions MA

256 pages

17.90 euros

4ème de couverture

Paris, février 1992. Pierre Descarrières, 11 ans, est malheureux, coincé entre une vie terne et des parents qui se déchirent quotidiennement. Seul dans sa chambre, il rêve d'un frère ou d'une sœur qui viendrait rompre sa solitude. Paris, février 1942. Hannah Klezmer, 11 ans, étouffe dans l'espace confiné de son appartement, mise à l'écart parce qu'elle est juive. Leurs routes n'auraient jamais dû se croiser. Et pourtant, c'est arrivé. Car il existe entre eux un lien plus fort que le temps et la folie des hommes.

Si La Chambre d'Hannah plonge ses racines dans l'Histoire la plus sombre, c'est aussi le roman sensible et lumineux d'une amitié entre deux enfants qui n'ont, au premier abord, rien en commun : ni leur condition, ni leur époque. Avec, en filigrane, ces deux questions essentielles : jusqu'où aller par amitié ? Sommes-nous prêts à croire à l'impossible ?

 

 

Mon avis

 

J'ai lu pour la première fois "La Chambre d'Hannah" il y a quelques années. Stéphane Bellat, son auteur, vient de publier le second volet intitulé "L'Étoile des Anges", ce qui m'a donné envie de relire le premier avant d'attaquer le second.

J'avoue que, même après toutes ces années, il m'a été tout aussi difficile d'écrire ce billet tant ce roman est bouleversant. Il est difficile de trouver les mots justes !

À travers cette histoire, l'auteur nous plonge dans les années 40, pendant la Deuxième Guerre mondiale. C'est à cette époque que nous découvrons la vie de Pierre et Hannah, deux enfants diamétralement opposés. Pierre a 11 ans, vit avec ses parents et va à l'école. Bref, une vie comme tous les enfants de son âge. Pourtant, il n'est pas heureux. Hannah, quant à elle, a 11 ans également. Contrairement à Pierre, elle vit avec des parents qui s'aiment énormément. Pourtant, elle est continuellement dans la peur, l'injustice et la cruauté, car elle est juive !

Une nuit, Pierre entend des bruits dans sa chambre. Il se réveille, inspecte les lieux, mais ne trouve personne ! Cependant, quelques jours plus tard, il découvrira Hannah qui apparaît et disparaît comme par enchantement ! Est-ce un fantôme ? Y a-t-il une autre explication ? Deux enfants du même âge, mais 50 ans qui les opposent...

Ce livre est avant tout une belle histoire d'amitié qui sauvera chacun des protagonistes de leur quotidien difficile. Chacun d'eux va pouvoir apporter à l'autre ce qui lui manque le plus... Mais l'auteur ne s'arrête pas là. Il met en avant des valeurs importantes comme l'amitié, l'entraide, ou encore la solidarité. Il met également un point d'honneur à faire réfléchir le lecteur en mettant en parallèle la société de consommation dans laquelle nous vivons et la vie des années 40.

Le sujet abordé par l'auteur est loin d'être facile. Pourtant, il a trouvé le moyen d'en parler de manière délicate et originale. La Deuxième Guerre mondiale est un sujet souvent abordé dans la littérature, mais rarement par le biais d'un enfant qui raconte sa vie à un autre enfant. L'auteur aborde une période sombre de l'Histoire, mais le but premier de ce roman n'est pas de mettre en avant les faits historiques. Il nous les raconte tout en simplicité, mais veille toujours à mettre en lumière cette amitié puissante qui unit nos deux personnages et la magie que seuls les yeux des enfants peuvent voir, malgré les événements.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la plume de l'auteur est magnifique et habile. Il parvient à mêler parfaitement deux langages opposés par le temps. On ressent d'ailleurs la difficulté que rencontrent ces jeunes pour se comprendre ! Il entraîne le lecteur avec lui dans son univers. Ce dernier va d'ailleurs passer par une multitude d'émotions durant sa lecture. On vit avec les personnages. On a peur pour eux, on sourit avec eux et on pleure avec eux. La proximité que l'on a avec Pierre et Hannah est incroyable.

Quant à la fin, elle est surprenante...

Je ne peux donc que vous conseiller de découvrir ce récit qui est un réel coup de cœur pour moi. Il l'était à l'époque et l'est toujours aujourd'hui. Un récit mélangeant l'aspect historique et fantastique, mais surtout un témoignage aussi intéressant que poignant qui rend un bel hommage à toutes ces personnes décédées lors de cette terrible guerre.

 

Ma note

 

 

 

Les petits voyageurs de l'art: La Joconde de Léonard De Vinci (Carbone)

Editions Kennes

48 pages

11.95 euros

Sortie: 22 février 2023

 

4ème de couverture

Jade et Luca ont hérité du pouvoir de leur mère : traverser les tableaux pour atterrir dans l'atelier de l'artiste. Quel pouvoir extraordinaire ! Encore faut-il pouvoir s'en servir. Et la tentation est immense surtout lorsqu'ils sont en visite scolaire au musée du Louvre ! Profitant d'une alarme providentielle, les enfants sautent dans le célèbre tableau de Léonard de Vinci. 

 

Les voici transportés en 1506 au Clos Lucé aux pieds de Lisa Gherardini... Passées la surprise et la présentation avec le célèbre peintre, les enfants vont devoir sauver l'oeuvre que Léonard voue à la destruction. Y parviendront-ils ? Partez avec nos jeunes héros à la découverte du célèbre tableau de Mona Lisa ainsi que de l'univers incroyable et du génie de Léonard de Vinci.

 

 

Mon avis

 

À travers ce livre, le lecteur rencontre Lucas et Jade, deux enfants intrépides et curieux qui ont le pouvoir de voyager à travers les tableaux. On les retrouve donc au musée du Louvre devant la très célèbre Joconde, où nos protagonistes décident de la traverser afin de rencontrer l'artiste et d'en savoir plus sur Mona Lisa...

Au cours de leur aventure, Lucas et Jade nous donnent de nombreuses anecdotes sur ce tableau célèbre auxquelles on n'aurait jamais pu s'attendre. Ils nous font découvrir la vie de l'artiste dans son atelier, nous permettant de découvrir ses défauts et ses qualités.

Cette bande dessinée est tout simplement captivante. J'aurais tellement aimé pouvoir traverser le tableau avec eux et vivre l'aventure à leurs côtés. L'auteure a eu une idée ingénieuse en innovant sur un sujet que peu d'auteurs traitent : comment découvrir l'art sous une autre forme ? Voilà ce qu'elle nous propose ici de manière ludique.

Il ne faut pas oublier le petit dossier spécial sur Léonard de Vinci. Le lecteur peut ainsi découvrir quelques anecdotes croustillantes sur sa vie, ses tableaux les plus connus, ainsi que ses techniques de travail. Il peut même essayer de dessiner à la manière du peintre et se confronter à un petit quiz pour vérifier sa compréhension.

Quant au dessin, il est rond, très coloré et rythmé. Il convient parfaitement à un public plus jeune et correspond totalement à l'esprit de cette bande dessinée. Pour une petite anecdote personnelle, j'ai eu la chance de rencontrer l'illustratrice. Elle est d'une gentillesse incroyable et son talent est redoutable. Elle a eu la délicatesse de me dédicacer cette bande dessinée, et en moins de cinq minutes, un magnifique dessin est né.

En ce qui concerne l'histoire elle-même, j'ai tout de même un petit bémol... On ne sait rien de la vie de nos deux protagonistes, mis à part le fait qu'ils ont ce pouvoir magique incroyable. J'aurais aimé en savoir un peu plus sur eux. Peut-être dans un autre tome ?

J'aimerais tellement voir d'autres tomes apparaître, mais cette fois sur des œuvres d'art un peu moins connues. En effet, l'histoire de l'art regorge de nombreuses œuvres incroyables mais peu connues. C'est sur celles-ci qu'il serait intéressant de se concentrer afin de les faire découvrir au grand public.

Je ne peux que vous conseiller de découvrir cet ouvrage captivant et rapide à lire, qui mêle l'art, l'aventure, l'histoire et la magie. Pour ma part, ce fut une excellente surprise, tant sur le fond que sur la forme.

Ma note

18/20

Le royaume des cercueuils suspendus (Florence Aubry)

 

Editions Rouergue

152 pages

11 euros

 

 

4ème de couverture

 

Depuis que la Cérémonie a mis à jour la vraie nature de Huang, le peuple Bââ lui a imposé une punition exemplaire : le garçon de 17 ans a été le premier vivant à être suspendu à la falaise, sans provisions, près de son cercueil... Dans ce deuxième ouvrage de la collection Epik, Florence Aubry invente une société tribale d'une très belle poésie. Au cœur de ce roman du genre « merveilleux » : le sentiment amoureux chez les jeunes gens et les rites initiatiques de passage à l'âge adulte.

 

 

Mon avis

 

Pour être honnête avec vous, j'ai commencé ce livre avec beaucoup de difficultés. Impossible, pour moi, de rentrer dans l'histoire. Je trouvais que les descriptions étaient longues, la narration fort dissipée, on passait d'un endroit à un autre sans même s'en rendre compte. De plus, le rythme était relativement lent. Je me suis demandé où l'auteure voulait nous emmener. C'est après quelques chapitres que j'ai enfin compris et que j'ai pu apprécier cette lecture à sa juste valeur.

Commençons par parler un peu de l'histoire. L'auteure nous emmène au sein même du peuple Bââ et c'est avec Huang que nous allons découvrir les coutumes de ce peuple. En effet, on est catapulté au cœur même d'une cérémonie où chaque homme, à l'âge de 17 ans, déploie son don. Ce jour-là, un événement inattendu se produit. Huang n'a pas de don. Impossible donc de déployer ses ailes. Comment est-ce possible ? Même lui ne se doutait de rien. Pour en connaître la raison, il va falloir lire ce livre car je ne vous en dirai pas plus... Très vite, il va être condamné à mort. Exilé sur une falaise avec une semaine de provisions et un cercueil suspendu à celle-ci. Quand il sentira la fin venir, il n'aura qu'à s'allonger dans le cercueil et se laisser mourir. Mort incroyable, n'est-ce pas?

Les personnages à présent... Attachants, pas particulièrement. Certes, j'ai apprécié Huang mais sans plus. L'alchimie dans ce cas-ci ne s'est pas produite. La raison de cela ? Un manque de profondeur pour ceux-ci, une impression de ne pas suffisamment les connaître. On pourrait s'apitoyer sur le sort de certains d'entre eux, mais même pas.

Nous sommes face à un court roman. Florence Aubry reste fidèle à elle-même et nous propose des chapitres très courts. Une facilité de lecture me direz-vous ? Dans la majorité des cas, oui. Dans ce cas-ci, par contre, j'ai eu, comme dit précédemment, beaucoup de mal à me situer, à comprendre les tenants et aboutissants, à suivre les personnages.

Que nous racontent-ils ? Tout d'abord, les premiers chapitres plantent le décor et nous présentent la situation ainsi que les personnages. Ensuite, nous aurons l'opportunité de suivre les différents protagonistes et de découvrir leurs sentiments.

Entre flash-back et monde actuel, pas facile de se situer. C'est entre les deux que l'auteure va nous faire voyager.

Que dire de l'écriture de l'auteure ? Simple et fluide. Elle permet une lecture agréable.

Le rythme ? Relativement lent comme je vous l'ai déjà dit. Par contre, petit bémol concernant la fin du livre. En effet, celle-ci est bien trop rapide. Je ne m'attendais pas à une telle fin et je suis réellement resté sur ma faim. En effet, j'attendais plus des personnages, je souhaitais savoir ce qui allait leur arriver et je quitte ce livre sans le savoir. Sans compter qu'en outre, je ne sais pas non plus la signification de certains signes apparus lors du séjour de Huang sur la falaise. Un peu dommage donc...

De chouettes thèmes sont abordés néanmoins... En effet, on parle du passage entre l'adolescence et l'âge adulte mais également de la découverte amoureuse et de l'identité de chacun.

Ce n'est pas un coup de cœur, mais ce n'est pas une déception non plus. Ce n'est pas un livre que je garderai en mémoire bien longtemps, même si vers la fin, j'ai pris beaucoup de plaisir à le découvrir. Je vous conseille donc de vous faire votre propre avis et de me le communiquer ensuite... Je suis de nature curieuse.

 

 

Ma note

 

12/20

Un coupable rêvé (Franck Andriat et André-Paul Duchateau)

 

Editions Mijade

140 pages

4ème de couverture

Tommy est un jeune adolescent. Il va au Lycée. Là-bas, tout se passe bien mais tout se passerait encore mieux si Daniel Fatucci n'existait pas! C'est le pire des élèves, la terreur de l'école. Tout le monde en a peur; même les professeurs.

Un jour, par hasard, Tommy va découvrir que la femme dont son père est amoureux n'est autre que la mère de Daniel Fatucci. L'horreur va commencer.

Daniel, pour gagner de l'argent, va vendre des conseils... "Comment briser un couple?"... Il va tout faire pour briser celui de sa mère...

Un soir, Daniel est agressé. Il est gravement blessé! Il est emmené à l'hôpital et la police ouvre une enquête...

Très vite, le père de Tommy devient le coupable rêvé... Il faut mener l'enquête avant la police pour défendre son père. Celui est-il vraiment coupable? 

Mon avis

Avec ce livre, nous sommes face à une enquête policière certes, mais également à une intrigue amoureuse et psychologique...

Ces deux auteurs nous montrent le ressenti d'un homme qui doit faire face à des rumeurs le concernant. Est-on plus fort que cela ou les rumeurs peuvent-elles abattre un homme ? Qu'est-on capable de faire pour se défendre, pour prouver notre innocence ? N'est-on pas capable, sans le vouloir, de commettre d'autres erreurs ?...

Ce récit nous balade à travers plusieurs émotions... mais si l'on devait citer quelques mots pour le résumer, je dirais : "poignant, troublant, inattendu, rebondissements en cascade".

Ce qui m'a le plus touché dans ce livre, c'est la complicité entre Tommy et son père. Ils vivent sans mère, sans femme et vivent très bien comme cela.

Ce récit est facile à lire et très bien écrit. Le vocabulaire reste assez simple ; ce qui le rend accessible à un grand nombre de lecteurs.

Comme dit précédemment, le suspense nous tient en haleine jusqu'à la fin et à aucun moment, je ne me suis ennuyé(e)...

À découvrir donc...

 

 

Ma note

 

15/20

Le stylo (Franck Andriat)

 Editions Mijade

192 pages

7 euros

4ème de couverture

Le fait : un vol de stylo.

Le lieu : une école.

Le temps : une heure de cours.

Les personnages : le professeur de mathématiques, l'éducatrice, la victime, les amis, les manipulateurs...

Soixante minutes pour démasquer le coupable et ouvrir les yeux sur la vie de la classe, avec ses faits, ses méfaits, ses surprises et ses mystères. 

Mon avis

Cette histoire nous emmène dans un lieu cher à l'auteur : une classe. Dans celle-ci, nous retrouvons Soumaya, élève, lors d'un cours de mathématiques. Cette dernière ne retrouve plus son stylo. Son professeur, Dragul Zorb, s'en aperçoit et lui demande des comptes... Soumaya craque et affirme qu'on le lui a volé. Dragul Zorb décide alors de mener l'enquête aidé par l'éducatrice ! Le coupable sera-t-il facile à démasquer ?

Parlons tout d'abord des personnages. Ils sont sympathiques, attachants mais surtout terriblement réalistes. Combien d'enfants comme cela n'avons-nous pas dans nos classes ? Au fil de l'histoire, nous voyons leurs réactions évoluer. Si au départ, ils sont certains d'eux et se sentent forts... Progressivement, on les voit faiblir, pâlir, avoir peur des conséquences.

L'histoire est terriblement drôle malgré le fait qu'il s'agit d'une "enquête". Cela vient des réactions des personnages, des surnoms donnés aux profs, des dialogues et anecdotes entre eux ! L'imagination que peuvent avoir les personnages est incroyable !

Dans un style simple, un vocabulaire adapté aux jeunes lecteurs, Franck Andriat arrive à toucher le lecteur ! Les chapitres sont courts et les titres de ceux-ci donnent envie de lire la suite ! L'action ne s'arrête jamais. Il y a sans cesse de nouveaux rebondissements ! On ne sait pas s'ennuyer ! Quant au dénouement de cette affaire, elle ne m'a pas surprise... J'aurais dû m'en douter... Bien que...

J'ai particulièrement aimé ce livre. Peut-être par le fait que je suis enseignante... Régulièrement, dans nos classes du professionnel, nous avons à faire à ce genre d'histoire chez les plus jeunes. C'est là qu'on se rend compte des manipulateurs, des chefs de bandes, des souffre-douleurs et j'en passe... L'équilibre entre les élèves n'est pas toujours facile et c'est ce que ce livre nous explique.

Un livre que je vous conseille donc...

 

 

Ma note

 

16/20